Résultats de recherche de titre
Articles 1 à 7 sur 7

Le parfum de la tubéreuse
Par Élise Turcotte. 2015
" Professeure de littérature dans un collège de Montréal, Irène retourne enseigner après un long congé de maladie. Le désir…
de faire voir à ses étudiants le pouvoir de résistance qu'exerce la poésie est toujours là. Et ni un contexte politique assez sombre, ni Théa, sa perfide alliée, ni même la mort n'arrivent à l'éteindre. C'est qu'à l'horizon le printemps rougit, et bientôt l'engagement d'Irène dans la révolte grandissante la forcera à renoncer à son travail. Mais ce n'est pas fini pour elle, car la voici ensuite obligée de donner ses leçons devant une bien étrange assemblée. Avec cette fable où les sucs vénéneux se mêlent aux parfums les plus enivrants, Élise Turcotte signe un envoûtant plaidoyer pour la littérature qui est une arme contre le vacarme des lâches. " -- 4e de couv.
Caravane: nouvelles (Nouvelles Leméac)
Par Élise Turcotte. 1994
Recueil d'une quinzaine de nouvelles nourries a l'émotion la plus vive, et où se conjuguent les forces de la vie…
et les formes de l'écriture. Grâce à ces nouvelles, il est possible de revivre ces moments où la vie perd pied et devient une suite de petites catastrophes, heureuses et malheureuses, qui font accéder à une conscience aiguë des choses. L'auteur, Élise Turcotte, a reçu deux fois le prix Emile-Nelligan pour ses oeuvres poétiques. 1994.
L'apparition du chevreuil
Par Élise Turcotte. 2019
Au XXIe siècle, entre deux révoltes féministes, une écrivaine se retire dans un chalet après avoir été victime de harcèlement…
sur les réseaux sociaux. Remontant le cours de la colère, une histoire familiale revient la hanter. Au coeur d'une tempête qui à la fois obscurcit et enlumine le paysage, elle appréhende la forêt où rien n'est tranquille. Abandonné et rongé par la mérule, le chalet voisin se dresse comme une menace. Et si on l'avait suivie ? Tel le chevreuil qui avance dans la neige et trace un ravage, cette oeuvre haletante, lucide et splendidement ornementée provoque un nécessaire fracas et expose, au temps de la prédation, un drame trop familier pour qu'on puisse se permettre de ne pas le raconter
Le bruit des choses vivantes: roman (Babel #354)
Par Élise Turcotte. 1998
Entre Albanie et Maria, sa fille de trois ans, se tissent au fil des jours, des mots et des morceaux…
de vie qu'elles explorent, une histoire d'amour pareille à aucune autre, qui leur permet de sentir et d'entendre ce bruit des choses vivantes par lequel le monde et ses images parviennent jusqu'à elles. -- 4e de couv
La maison étrangère: roman (Littérature d'Amérique)
Par Élise Turcotte. 2002
Ce roman a pour personnage central Élisabeth, une médiéviste, professeure de littérature, quittée sans explications par Jim, l'homme qu'elle aimait.…
L'auteure tente de "cerner les voix intérieures d'Élisabeth, femme envahie par la perte d'un être" qui n'est peut-être ni aussi "mythique" ni aussi "inoubliable" que ne l'affirme la critique du Devoir. Bon niveau psychologique (cf. en particulier l'analyse des rapports de l'hérone avec ses parent s). Écriture maîtrisée
L'île de la Merci: roman (Le Livre de poche #6412)
Par Élise Turcotte. 1997
"L'auteur aborde ici le monde de l'adolescence tissée au coeur du mensonge, du silence des parents qui ne s'aiment plus,…
de la peur, de la honte du corps, du châtiment, du désespoir et du désir immense, viscéral de vivre. Un livre que tous les jeunes, tous les parents et tous les amoureux de la littérature doivent absolument lire..." [SDM
Pourquoi faire une maison avec ses morts: récits
Par Élise Turcotte. 2007
"[...] Dans ces sept histoires pétries dans la glaise du jour, les pieds sur le seuil du nouveau millénaire, les…
questions de tous les temps bourdonnent fort à nos oreilles. Ne sent-on pas qu'il y a un autre monde en sursis, craignent toujours la petite faucheuse, aujourd'hui comme il y a mille ans? Que le jardin des allongés n'a rien d'un paradis et que, en fin de compte, la mort est bien plus vivante qu'on ne le croie... La narratrice de ces histoires aide les endeuillés à comprendre l'incompréhensible, afin de faciliter le passage obligé de la mort, dans un monde engagé sur l'autoroute de la déshumanisation." -- 4e de couv