" Professeure de littérature dans un collège de Montréal, Irène retourne enseigner après un long congé de maladie. Le désir…
de faire voir à ses étudiants le pouvoir de résistance qu'exerce la poésie est toujours là. Et ni un contexte politique assez sombre, ni Théa, sa perfide alliée, ni même la mort n'arrivent à l'éteindre. C'est qu'à l'horizon le printemps rougit, et bientôt l'engagement d'Irène dans la révolte grandissante la forcera à renoncer à son travail. Mais ce n'est pas fini pour elle, car la voici ensuite obligée de donner ses leçons devant une bien étrange assemblée. Avec cette fable où les sucs vénéneux se mêlent aux parfums les plus enivrants, Élise Turcotte signe un envoûtant plaidoyer pour la littérature qui est une arme contre le vacarme des lâches. " -- 4e de couv.
Recueil d'une quinzaine de nouvelles nourries a l'émotion la plus vive, et où se conjuguent les forces de la vie…
et les formes de l'écriture. Grâce à ces nouvelles, il est possible de revivre ces moments où la vie perd pied et devient une suite de petites catastrophes, heureuses et malheureuses, qui font accéder à une conscience aiguë des choses. L'auteur, Élise Turcotte, a reçu deux fois le prix Emile-Nelligan pour ses oeuvres poétiques. 1994.